NOTES
« Héraut, fais ton devoir; contiens la foule; que la trompette tyrrhénienne se remplisse de ton souffle, et que sa voix pénétrante annonce au peuple ma volonté » dit Athéna dans Les Euménides (trad. Pierron, p. 250). Hugo, cependant, connaît sans doute cet instrument plus par Virgile (Eneide, VIII) que par Eschyle et rien n'atteste son usage par le héraut de l'aréopage, ni que l'aréopage eût un héraut. Quant à ce que sont « les grands jours d'Eleusis »... Mais la cérémonie qu'invente Hugo est grandiose et contraste d'avance avec celle de la Conclusion en l'honneur de Shakespeare.